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La Nutrithérapie, médecine millénaire, devient une science incontournable.

  • Photo du rédacteur: Pauline Merlet
    Pauline Merlet
  • 1 févr. 2024
  • 1 min de lecture

Marginal hier, plébiscité aujourd’hui


Cela fait maintenant 29 ans qu’il creuse, cherche, compile, réfléchit, approfondit, lit tout ou presque, assiste et participe à des colloques, prend contact, communique, écrit ses livres. « Au début, je recevais des marginaux, des végétariens, mais maintenant, de plus en plus de patients de tous milieux et de toutes pathologies consultent.  Malheureusement, toutes ces études, ces recherches, ces informations ne sont pas intégrées ni enseignées en fac de médecine. »

« Aujourd’hui », ajoute-t-il, « on peut dire que le processus est irréversible.  Il s’agit de biochimie pure et dure, tout est clair, et notre médecine entièrement dirigée contre la guerre à la maladie devra tôt ou tard se rendre à l’évidence : l’aliment reste le premier médicament. » Tout le monde reconnaît les liens entre le sel et la tension artérielle, entre la vitamine D, le calcium et l’ostéoporose, entre l’iode et le crétinisme, entre la vitamine C et le scorbut.  Le cancer ou la maladie d’Alzheimer seraient-ils à l’abri des influences alimentaires ?

Aujourd’hui, on peut se réjouir d’une accélération à tous niveaux : par exemple, le Conseil général des Pyrénées orientales a chargé le Dr Curtay de remettre à plat les recommandations en matière nutritionnelles dans son secteur public (collectivité, cantines, maison de retraite..)


 
 
 

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